IMPOTS

Publié le par SENSEMAT

UN PAYS SANS RICHES

 

L’ISF est un impôt très populaire chez les ouvriers, les classes moyennes et même libérales de «  petits riches ». Une façon de se venger de ceux qui sont obligés de payer l'Impôt de Solidarité sur la Fortune.

Pourtant l’ISF est tellement destructeur pour la France. De ci de là, des politiques conscients de ce que peut être l’Economie, s’agitent, à l’image de ce sénateur (UMP) qui demande de «rectifier les effets pervers», mais qui ne parle pas de supprimer cet impôt. Il propose de remonter le seuil en le portant à 800 000 Euros au lieu de 732 000 Euros, à ce jour.

Une vraie misère pour les économistes qui considèrent l’Economie comme le moteur du Pays.

Quand les Français comprendront l’intérêt de favoriser la richesse des hommes qui entreprennent, ils accepteront alors que ces patrons s’enrichissent pour l‘intérêt du plus grand nombre. Car, comme dit un de mes Amis de la France profonde : « Là où il y a des Riches, il y a bien moins de pauvres ».

Internationalement, nous sommes très isolés avec notre ISF. Nos talents vont petit à petit s’exprimer ailleurs, laissant la France, dépouillée, médiocre et dégradée. D’ailleurs, nos chiffres le prouvent déjà très largement.

Lorsque dans un pays, il est interdit de faire du profit ou encore qu’il y a trop d’obstacles pour s’enrichir, les chiffres de la croissance chutent. En France, le déficit de l’Etat est abyssal et le devenir du Pays ne s’affichera qu’au lendemain des présidentielles de 2007. En effet, dans un élan nécessaire, les Français devront alors payer l’addition au prix fort !

L’appel à l’impôt, la réduction des gaspillages souvent considérés comme « des acquis sociaux » seront abolis par nécessité de salut public.

Le mal pour la France vient bien trop souvent, d’une certaine classe politique qui protège les sujets lucratifs sur le seul plan électoral au détriment de l’Economie de Notre Nation.

J-C.S

Publié dans toulouse-capitale

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